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Erdé plume libre. Presque naïf.

Ce lieu est mon espace de liberté, de poésie, de rêve, d'utopie. C'est rouge et vert, les couleurs de la vie et celle des arbres Espérance. C'est bleu et blanc, pour l'Envol et l'Enfance. C'est le jaune de certaines calligraphies, pour la lumière du soleil. L'infini légèreté de l'esprit de l'être toujours en devenir. Le rêve perpétuellement retrouvé. Le regard grand ouvert et lucide sur ce que je suis et ce que je fais. Le regard grand ouvert et lucide sur le monde qui m'entoure. Venez à ma rencontre, comme je viens à la vôtre...mains tendues, paumes ouvertes vers le ciel... Vive la Vie et Vive Vous et Vous mes amis(es).

MÊME EN PLEINE TEMPÊTE...

<<LA PLUIE FAIT DES CLAQUETTES SUR LE TROTTOIR À MINUIT>> - TEMPÊTES ET PHARES SONT  INDISSOCIABLES.
<<LA PLUIE FAIT DES CLAQUETTES SUR LE TROTTOIR À MINUIT>> - TEMPÊTES ET PHARES SONT  INDISSOCIABLES.

<<LA PLUIE FAIT DES CLAQUETTES SUR LE TROTTOIR À MINUIT>> - TEMPÊTES ET PHARES SONT INDISSOCIABLES.

Claude Nougaro

MÊME EN PLEINE TEMPÊTE…

Oh ! Combien je voudrais.

Sous ces nuages gris, lourds

Presque noirs

En plein jour

On se dirait que c’est la nuit

J’en ai rêvé.

Oh ! Combien je voudrais.

Oh ! Mon Amour, mon coeur

Sous des vagues déferlantes

Ici, les pieds au sec

On se dirait que c’est mouillé

J’en ai rêvé.

Oh ! Combien je voudrais.

Au creux de notre couche

Après la moiteur torride

De nos étreintes

Où bien levés

Serrés l’un contre l’autre

Vitre embuée, fouettée

Pluie battante

J’en ai rêvé.

Oh ! Combien je voudrais.

Au loin un volet claque

Plus bas sur la plage

Un pauvre parasol esseulé

Se tord résistant à l’assaut du vent

Ici, les pieds au chaud

On se dirait on s’est aimé

J’en ai rêvé.

Oh ! Combien je voudrais.

Même en pleine tempête

Insatiable, je t’aimerai tant

Le plus beau week-end

Assauts et sursauts contrôlés

Paix infinie dans nos corps

Sérénité dans nos cœurs

J’en ai rêvé.

Oh ! Combien je voudrais.

Oh ! Mon Amour, mon cœur

Gardienne de mon âme

Même en pleine tempête

On se dirait pas de peur

J’en ai rêvé.

Oh ! Combien je voudrais.

© Rémy Ducassé dit Erdé, le 10 novembre 2006 – Revu et corrigé le Vendredi 10 Avril 2015.
LE TEMPS, LE VENT, LES MAREES PASSENT, MAIS LES SOUVENIRS NOUS RAMENENT ETERNELLEMENT AU RIVAGE...

LE TEMPS, LE VENT, LES MAREES PASSENT, MAIS LES SOUVENIRS NOUS RAMENENT ETERNELLEMENT AU RIVAGE...

La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. Marcel JOUHANDEAU.

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