1 Juillet 2016
La femme a la mémoire du coeur : l'homme plutôt celle des yeux.
Pensées sauvages
Augusta AMIEL-LAPEYRE.
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Refrain :
Les dieux passant leur temps
A attiser la haine des hommes
La Poésie usée, découragée
Faillit disparaître à jamais.
Un jour, ou bien peut-être
Etait-ce, plutôt une nuit ?
Je ne sais plus…
Foi de dernier témoin
Privilégié je m’interroge
La Poésie, fatiguée
Par la violence des hommes
Décida après mûres réflexions
De quitter sans aucun délai
Les cités du triste monde.
Refrain :
Les dieux passant leur temps
A attiser la haine des hommes
La Poésie usée, découragée
Faillit disparaître à jamais.
Les dieux, tous les dieux et déesses
Réels, auto-proclamés ou désignés
Par ces humains inconséquents
Furent émus, fraction de seconde
De voir disparaître à jamais
Cet ART indispensable, ancestral
Lui seul toujours capable
De sublimer les émotions
La clarté d’un son, celle de l’eau
La beauté de la nature
La flamboyance d’une couleur
Lui seul toujours capable
De transcender les peines de cœurs
En dépassant rancoeurs et malheurs
D’ensoleiller les visages enfantins.
Refrain :
Les dieux passant leur temps
A attiser la haine des hommes
La Poésie usée, découragée
Faillit disparaître à jamais.
En un lieu tenu secret de tous
Ils tinrent conseil, partageant au
Premier temps, émotions sincères
Cela fût long, dura très longtemps
Pensez, depuis l’éveil éclairé
Aube de la première mère
Joie du tout premier enfant
Foi de dernier témoin
Privilégié, je vous l’assure
Les dieux éplorés et contrits
Ne s’étaient ni rencontrés
Encore moins parlés, jamais.
Refrain :
Les dieux passant leur temps
A attiser la haine des hommes
La Poésie usée, découragée
Faillit disparaître à jamais.
Une fois qu’ils se furent épanchés
Compassion des uns aux autres
Se ressaisissant conscients du tors
Que tous ensemble sans exception
Ils avaient infligé aux âmes humaines
Leur vint presque simultanément
En une fraction de seconde, à peine
Le temps d’un infime soupir
L’idée lumineuse saisissante
Qu’il fallait par pure nécessité
Réincarner l’ART irremplaçable
De la Poésie, en une seule personne
Une Femme éternelle Espérance
Plus puissante que tous les « Guerriers »
Même ceux farouches de la « Lumière »
Que cette si douce, si tendre planète
Ait jamais engendrée, jamais portée.
Refrain :
Les dieux passant leur temps
A attiser la haine des hommes
La Poésie usée, découragée
Faillit disparaître à jamais.
Aussitôt l’idée ils eurent partagés
Des rires tonitruants perçant les flots
De nuages, ces ténèbres épandus
Sur toute la surface du globe, apeuré
Dans un éclair, fulgurance totale
Naquit dans une douceur de miel
D’une cache très profonde, secrète
En un lointain pays protégé
Des chamailleries continuelles
De ces dieux fanatiques et vains
L’enfant de sexe féminin, c’était
Là, condition incontournable
La merveilleuse, sublimissime
Irremplaçable désormais, à jamais !!!
« CHABNAME »
La Poésie faite Femme.
Refrain :
Les dieux passant leur temps
A attiser la haine des hommes
La Poésie usée, découragée
Faillit disparaître à jamais.
« CHABNAME »
La Poésie faite Femme
Protectrice des mots réparateurs
Consolatrice fidèle au cœur pur
« CHABNAME »
La Poésie faite Femme.
Epilogue :
Plus jamais aucun
Dieu, aucune Déesse
Réels ou auto-proclamé
Ne vint semer le désespoir
Au sein de l’HUMANITE !!!